• 9782013228725.jpg●Auteur : Jack London

    ●Titre : L’homme et le loup et autres nouvelles

    ●Edition : Le Livre de poche Jeunesse ;  Hachette

    Genre :C’est un recueil de nouvelles

    Thème principal : Aventures d'hommes aux prises avec une nature sauvage et souvent cruelle

    Résumé :

    L’homme et le loup et autres nouvelles propose six nouvelles.

    L’homme et le loup raconte l’histoire d’un homme confronté au froid, à la faim et la solitude. Puis celui-ci fait la rencontre avec un loup qui lui aussi avait faim.

    Le fils du loup parle de l’histoire d’un homme qui partit en quête d’une femme.

    Bâtir un feu est encore l'histoire d'un homme « seul » face au froid .

    Les trois autres textes parlent de récits maritime.

    Choix d'un passage :

    ● « Il fut éveillé une fois par un reniflement tout proche, dans son oreille. Le loup s’écarta en boitant, perdit l’équilibre et tomba de faiblesse. C’était ridicule mais il ne s’amusa pas. Il n’en fut même pas effrayé, non plus. Il était trop loin tout pour ça. Pour l’heure, il avait l’esprit clair ; il resta allongé et réfléchit. »

    ● J’ai pris ce passage car il nous dit que il fait la rencontre avec le loup et qu'il nous indique que le loup est faible, et que lui n’est pas effrayé pas ce loup. Mais ils auraient pu essayer de s’entretuer car ils sont tous les deux faibles et ils meurent de faim.

      

    Jugement :

    J’ai beaucoup apprécié ce livre car il nous précise que même si on est dans la solitude on peut quand même se battre pour réussir et se faire des amis.

    Valentin, 4A, novembre 2012 


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  • Auteur : Gogol  Nicolas
    Titre : Le manteau, Le nez
    Edition : GF  Flammarion

    genre : recueil de nouvelles49749.jpg

    présentation d’une seule nouvelle, « Le Nez »:

    Thème principal une enquête sur une personne ayant perdu son nez.

    Résumé : C 'est l'histoire d'un homme IVAN YAKOVLETICHE  qui un jour retrouve dans son petit déjeuner un nez .Sa femme ne veut pas que son mari le garde chez  eux, il essaye donc de s'en séparer en le jetant mais chaque tentative échoue   ...  l'assesseur du collège en même temps cherche son nez partout accusant à tort et à travers diverses personnes auprès de la gendarmerie pour au final retrouver son nez un matin.

    Passage remarquable : " ..l'ayant partagé en deux il aperçut à son grand étonnement une masse blanchâtre dans la mie; il piqua la chose avec précaution du bout de son couteau , puis la tata du doigt: " c'est dur, se dit-il ; qu'est-ce que cela pourrait bien être? " il plongea ses doigts dans la mie et en retira ...un nez!. ."

    Mon avis : ce livre, peu à mon gout, ne m'a pas du tout touchée. Je n'ai pris aucun plaisir dans sa lecture .

    Jusqu'à la fin qui je trouve s'enlise encore plus, je ne le garderai pas en mémoire, passons vite à une autre  lecture...

    Loïse, 4A, novembre 2012

     Le livre en entier : http://www.archive-host.com/link/c8be8b0a1fcce352d349b44125ca7fd9f5fe4fdf.pdf 


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  • titres : Arria Marcella /Le pied de momie/La Vénus d'Ille/Petite discussion avec une momie

    auteurs :T. Gautier /P. Mérimée/E. Poe

    maison d’édition : le livre de poche jeunesse

    genre : nouvelles / fiction

    Arria Marcella de Théophile Gautier

    Résumé : Un jeune homme nommé Octavien vient à visiter Pompéi, ville enfouie sous les cendres depuis deux mille ans et il ne sait pas par quel prodige mais il va se retrouver dans Pompéi au temps de Titus c’est à dire 2000 ans plus tôt.

    Extrait choisi : Un prodige inconcevable le reportait, lui, français du dix-neuvième sicle, au temps de Titus, non en esprit, mais en réalité, ou faisait revenir à lui, du fond du passé, une ville détruite avec ses habitants du passé ; car un homme vêtu à l’antique venait de sortir d’une maison voisine.

    Le pied de momie de Théophile Gautier

    Résumé : un jeune homme achète à un antiquaire un pied de momie pour en faire un presse papier mais alors qu’il va aller dormir il fait une rencontre insolite avec la propriétaire de ce pied …

    Extrait choisi : Au lieu d’être immobile comme il convient à un pied embaumé depuis quatre mille ans, il s’agitait, se contractait et sautillait sur les papiers comme un grenouille effarée : on l’aurait cru en contact avec une pile voltaïque ; j’entendais fort distinctement le bruit sec que produisait son petit talon, dur comme un sabot de gazelle.

    Pourquoi j’ai aimé ou je n’ai pas aimé ce livre : J’ai aimé ce livre car il parle de « voyage dans le temps » et qu’il est captivant.

    Julie M, 4C, novembre 2012

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    Théophile Gautier est bien connu pour être à la fois un grand romantique, poète, romancier, nouvelliste, ... et un maître de la nouvelle fantastique. Avec Arria Marcella, il nous entraîne en Italie avec trois jeunes gens Max, le plus sensuel, Fabio, le plus séducteur et Octavien, le plus romantique. Arrivés à Naples, ils visitent le musée de Studj où Octavien, le plus jeune des trois, reste pétrifié devant l'empreinte d'un corps de femme dans un morceau de cendre noire.  Plus tard, ils empruntent le corricolo qui "avec ses grandes roues rouges, son strapontin constellé de clous de cuivre, son cheval maigre et plein de feu, harnaché comme une mule d’Espagne, courant au galop sur les larges dalles de lave," les conduit à Pompei. Ils visitent la ville antique, guidés par "un cicerone" qui les "prit" dès leur arrivée à l'osteria."Calamité qu'il est difficile de conjurer en Italie", souligne le narrateur. Le soir, de retour à l'auberge, il dînent sur la terrasse qui s'ouvre sur la ville antique et goûtent au vin de Falerne en écoutant un jeune garçon leur jouer des cantilènes à la flûte. Au moment d'aller se coucher, Max et Fabio se retirent dans leur chambre mais Octavien croit voir des ombres bouger dans les ruines de Pompéi, il s'aventure dans les rues et voilà qu' "un prodige inconcevable le reportait, lui, Français du XIXe siècle, au temps de Titus, non en esprit, mais en réalité, ou faisait revenir à lui, du fond du passé, une ville détruite avec ses habitants disparus ; car un homme vêtu à l’antique venait de sortir d’une maison voisine"...

    Ne comptez pas sur moi pour dénouer l'intrigue fantastique. En revanche l'intérêt documentaire et  pittoresque ne peut me laisser insensible, je ne résiste pas à partager au moins cet extrait : "Octavien se trouva dans une cour entourée de colonnes de marbre grec d’ordre ionique peintes, jusqu’à la moitié de leur hauteur, d’un jaune vif, et le chapiteau relevé d’ornements rouges et bleus ; une guirlande d’aristoloche suspendait ses larges feuilles vertes en forme de cœur aux saillies de l’architecture comme une arabesque naturelle, et près d’un bassin encadré de plantes, un flamant rose se tenait debout sur une patte, fleur de plume parmi les fleurs végétales.

     

    Des panneaux de fresque représentant des architectures capricieuses ou des paysages de fantaisie décoraient les murailles. Octavien vit tous ces détails d’un coup d’oeil rapide, car Tyché le remit aux mains des esclaves baigneurs qui firent subir à son impatience toutes les recherches des thermes antiques. Après avoir passé par les différents degrés de chaleur vaporisée, supporté le racloir du strigilaire, senti ruisseler sur lui les cosmétiques et les huiles parfumées, il fut revêtu d’une tunique blanche, et retrouva à l’autre porte Tyché, qui lui prit la main et le conduisit dans une autre salle extrêmement ornée.

    Sur le plafond étaient peints, avec une pureté  de dessin, un éclat de coloris et une liberté de touche qui sentaient le grand maître et non plus le simple décorateur à l’adresse vulgaire, Mars, Vénus et l’Amour ; une frise composée de cerfs, de lièvres et d’oiseaux se jouant parmi les feuillages régnait au-dessus d’un revêtement de marbre cipolin ; la mosaïque du pavé, travail merveilleux dû peut— être à Sosimus de Pergame, représentait des reliefs de festin exécutés avec un art qui faisait illusion."

    On s'y croirait !   Rien que pour cette illusion, cette nouvelle du XIXe mérite bien d'être lue.

    JBicrel, juillet 2012


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  • INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES : Auteur : Ray Bradbury (écrivain américain décédé en juin 2012, voir ici)

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    Traducteurs de l'anglais américain au français: Roland Delouya; Richard Negrou; Pierre Girard

    Titre : L’homme brûlant et autres nouvelles

    Edition : Flammarion_ directeur d'édition Patrice Kleff

    GENRE : recueil de nouvelles de science-fiction

    THEME PRINCIPAL : Comme il y a plusieurs nouvelles, j’ai choisi de parler de L’homme brûlant. Deux personnes vont rencontrer un homme étrange qui fuit le soleil.

    LE SUJET : Doug et Neva sont partis pique-niquer. Sur la route, ils rencontrent un auto-stoppeur plutôt surprenant, qui cherche à fuir le soleil. De plus, cet homme a des sujets de conversation bizarres et pose certaines questions un peu étranges.

    UN PASSAGE REMARQUABLE D’UNE DIZAINE DE LIGNES :

    Soudain, devant eux, il y eut un homme sur le côté de la route.

    Chemise ouverte pour montrer son corps bronzé jusqu’à la taille, les cheveux couleur de blé comme mûris par le soleil de juillet, les yeux de l’homme brûlaient d’un bleu ardent dans un nid de rides, de craquelures de soleil. Il agita la main, mourant dans la chaleur.

    Neva écrasa la pédale du frein. L’homme disparut dans des nuages de poussière. Lorsque la poussière dorée se dissipa, ses yeux jaune vif brillèrent de façon sinistre, comme ceux d’un chat, défiant la chaleur et le vent brûlant.

    Il posa les yeux sur Douglas.

    Douglas détourna les siens, nerveusement.

    Car on pouvait voir où l’homme avait traversé un champ couvert de hautes herbes jaunes cuites et recuites par huit semaines sans pluie. Il y avait une sente où l’homme avait brisé les herbes et s’était taillé un passage vers la route. La sente allait aussi loin que portait le regard, vers un marécage asséché et le lit d’une crique vide où n’habitaient que des galets chauffés à blanc, de gros cailloux recuits et du sable en fusion.

    - Dieu me damne, vous vous êtes arrêtés ! cria l’homme avec humeur.

    - Dieu me damne, je me suis arrêtée, lui répondit Neva sur le même ton. Où allez-vous ?

    - J’y réfléchirai.

    L’homme sauta comme un chat et se retrouva sur le siège arrière :

    - En route ! Il nous court après ! Le soleil, je veux dire, bien-sûr !

    (Page 17 et 18)

    J’ai choisi ce passage car c’est le moment où Doug et Neva font la connaissance de l’homme brûlant qui est sur la route. Je le trouve significatif, car c’est à ce moment qu’on commence un peu à connaître l’homme.

    JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL :

    Je n’ai pas du tout aimé cette nouvelle, je l’ai trouvée ennuyante, et il y avait beaucoup trop de mots dont je ne comprenais pas la signification. D’habitude, j’aime bien quand il y a des mots que je ne connais pas, ça me permet d’enrichir mon vocabulaire. Seulement là, il y en avait vraiment beaucoup trop. C’était donc pénible de s’arrêter en permanence pour chercher ce que le mot voulait dire. Je n’ai pas aimé les autres nouvelles non plus, je voulais terminer ce livre au plus vite tellement je n’arrivais pas à le comprendre.

    Emmanuelle, 4C, novembre 2012


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  • Auteur: Annie Saumont
    Titre: La guerre est déclarée
    Éditions: Flammarion date:2005
    Genre: recueil de nouvelles
    Illustrateur: Joelle Jolivet
    Thème principal: C’est une petite fille qui parle de la guerre.

    Résumé
    Dans son livre, Annie Saumont raconte plusieurs histoires (nouvelles), dont le thème central est la guerre. Dans la première nouvelle « La guerre est déclarée », la narratrice est une étudiante en sciences économiques. Elle s’interroge sur son avenir et cela lui fait peur. Du coup, se rappelant une anecdote de son grand père, qui avait échappé à une punition car au même moment sa mère avait annoncé à son père que la guerre était déclarée, elle décide de vivre comme si la guerre allait être déclarée. Ainsi, grâce à cela, n'étant pas sûre de ses sentiments envers son compagnon, elle a une excuse pour ne pas envisager des projets d'avenir.

    Passage remarquable
    j'ai bien aimé le passage p27 l.170 à 184, car c'est là ou elle va commencer à raconter plein d’histoires.

    Critique personnelle : Ce livre a été difficile à comprendre avec tous ces changements d'histoire.

    Julie L, 4A, Novembre 2012

     

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    C'est l'histoire de plusieurs enfants (jeunes) qui racontent chacun une nouvelle se passant pendant la guerre de 1939-1945.

    Chacun donne un titre à sa nouvelle en le repétant quelques fois dans le texte. Voici un extrait:

    "J'ai trouvé mieux : La guerre est déclarée. Pas vraiment mon invention. J'avai
    s souvent écouté bon-papa qui répétait ses histoires inabituelles... "


    Ce livre publié aux éditions Flammarion collection Etonnants classiques se compose de huit nouvelles :
    -"La guerre est déclarée"
    - "Vous auriez dû changer à Dol"
    - "Les voilà"
    - "La Composition d'orthographe"
    - "Sarah"
    - "C'était hier"
    - "Le cri"
    - "Le sucre"

    On y trouve aussi un dossier de documents complémentaires sur la seconde guerre mondiale. C'est un livre particulièrement recommandé aux élèves de troisième.

    Méven M, 5B, février 2009


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