• Tasset Eric_Thomas Passe-mondes, tome 4 Uluru

    Editeur : Alice Editions

    Collection : poche. Alice jeunesse 1216980-gf

    Pour les butineurs, comme moi, l’éditeur Alice Éditions, a eu la bonne idée de résumer en deux pages les trois premiers tomes où Thomas, à 14 ans, découvre soudain qu’il a un destin exceptionnel. En effet, il appartient à l’ordre des Passe-Mondes et il est le Nommeur, seul capable de retrouver le nom des Incréés et de contrecarrer les « sinistres projets du Dénommeur »… Sur Lirélire, cet article écrit par Yves de 5B en 2008 relatait déjà le tome premier. Voilà Thomas contraint à partir à la recherche de la Première Frontière, rencontrant sur sa routes alliés, embûches, collaborateurs,  multiples aventures et mésaventures entre désert de Nerk, royaume de Elwander, la mer Noire et le Mont-St-Michel. Dans ses vertigineuses pérégrinations, Thomas a même acquis le pouvoir de lire dans les esprits…

    Pour nous y retrouver, il faudrait bien un GPS ! Heureusement, une carte d’Anaclasis (où l’on voit que Colossea siège à l’emplacement de Paris)  et une autre carte du Monde des Reflets, l’Océanie précèdent le récit tandis qu’une chronologie comparée de ces deux mondes et six pages de présentation des personnages succèdent au récit dont la langue nécessairement allochtone est éclairée par un glossaire de 26 pages allant de Aedir à Zombre. En somme, la lecture est au moins aussi outillée que celle d’une tragédie grecque dans une édition pour lycéens.

    Et dans ce monde d’ailleurs, voici ce qu’on peut lire en page 233, lignes 12 et suivantes :

    « La fulgurite que leur tendit le gros homme un instant plus tard était tout simplement splendide. Elle adoptait la forme d’un S, avec une tête de serpent stylisée et une queue effilée de l’autre. Sa surface était parfaitement polie et recouverte de gravures d’une grande finesse. Mercier leur tendit une loupe et les visiteurs la détaillèrent à tour de rôle.

                _ On dirait Uluru ? se réjouit Henrique Serrao.

                _ Et une grotte, dans laquelle des hommes semblent danser, sourit Thomas. C’est bien un plan ! »

    Fulgurite, kes a quo ? Le glossaire vous dit tout : la fulgurite est une pierre faite de sable vitrifié par la foudre.

    Et Uluru ? Appelé aussi Ayers Rock, c’est un monolithe de grès situé au centre de l’Australie, haut de trois cent cinquante mètres et de plus de neuf kilomètres de circonférence. Uluru, Uluru, mais c’est… bien sûr c’est le titre de ce tome 4 ! Alors vite, direction Uluru !

    Livre reçu de Babelio, vous pourrez le retrouver bientôt au CDI.  


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  • Auteur: Colin Thibert

    titre de ce recueil de nouvelles: Le Batard de l'espace.

    titre des nouvelles présentées dans ce compte-rendu: « Bonheur et alacrité », «Le

    syndrome columbine ».

    Edition: Thierry Magnier

    Genre: recueil de nouvelles

    « Bonheur et alacrité »

    Sujet: C'est l'histoire d'un jeune homme qui après avoir eu un accident en 2018 va être cryogénisé et se réveille beaucoup plus tard en 3057. Lorsque qu'il sort du centre de réveil, il comprend vite que le monde n'est plus le même et qu'il va devoir s'y faire, mais Jonathan va tout changer.

     "Tout a changé le jour où le professeur d'histoire a emmené sa classe visiter le musée d'archéologie".

    -Beaucoup des objets que vous voyez ici datent de l'époque reculée qui fut celle de Jonathan, déclara le professeur. Il pourra certainement vous en commenter l'usage. Jonathan se retrouva au centre d'un groupe excité, devant une vitrine où étaient présentés une basket à demi décomposée et un téléphone mobile maladroitement rafistolé par les archéologues." (Page 44 lignes 6 à 15)

    Ce passage nous laisse penser que Jonathan risque d'amener sa technologie du 21ème siècle en 3057.

    J'ai bien aimé cette nouvelle, je la recommande au plus grand nombre.

    «Le syndrome Columbine »

    Sujet : C'est l'histoire d'un collège qui va avoir la visite d'un lieutenant de l'armée pour enseigner quelques techniques de combat rapproché, ainsi que les rudiments du maniement des armes. Les élèves vont être autorisés à avoir une arme en permanence. Ceci va vite entraîner une situation cauchemardesque pour le collège.

     "Considérant que cette remarque était frappée au coin du bon sens, le principal nous a autorisés à porter nos armes sur nous en permanence". (page 58 lignes 3 à 5)

     Ce passage nous annonce le début d'une série de violences, le sang va couler et des meurtres vont avoir lieu.     

     J’ai également aimé cette nouvelle mais je n'en recommande pas la lecture aux personnes sensibles.

    Kélig, 4C, novembre 2012

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    INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES

    Auteur : Colin Thibert

    Titre : Le bâtard de l’espace

    Edition : date : 2009 – éditeur : Thierry Magnier – collection : Mikaël Ollivier

    GENRE Recueil de nouvelles

    THEME PRINCIPAL Des récits de science-fiction qui racontent des faits qui se passent dans le futur

     PRÉSENTATION DE DEUX DE CES NOUVELLES

     Bonheur et alacrité

    Au début de ce récit, Jonathan se réveille dans un hôpital et se remémore son dernier souvenir : il dévale une rue en skate lorsque son petit frère lui crie « Attention ! » mais Jonathan l’ignore et percute un camion. Il est maintenant dans un hôpital. Il se regarde dans un miroir et remarque qu’il a les cheveux beaucoup plus longs qu’au moment de l’accident, et apprend qu’il est en 3057. En fait, il est mort après son accident mais ses parents ont accepté de le cryogéniser pour le ramener à la vie si la science fait des progrès dans le futur, et en 3047, des ouvriers déterrent le corps de Jonathan. Il découvre peu à peu l’époque dans laquelle il a débarqué et apprend des tas de choses, notamment qu’il n’y a pas de guerres en 3057. Puis il fait la connaissance de Lucille, une jeune fille qui l’aime beaucoup. Un jour, ils pique-niquent dans un champ, et Jonathan fait semblant de tirer avec un pistolet qu’il a récupéré dans un musée, mais il se rend compte que l’arme fonctionne encore ! Lucille abat un mouton pour goûter sa viande, mais le berger rapplique, furieux, et Jonathan le tue. Depuis ce jour, Lucille et Jonathan tuent de plus en plus de gens, et bientôt tout le monde s’entretue.

    PASSAGE REMARQUABLE

    « - Je veux savoir quel goût ça a, la viande ! dit-elle en abattant le plus dodu du troupeau.

    A l’aide de son canif, Jonathan découpa tant bien que mal une patte au mouton et entreprit de la faire griller sur un petit feu. La chair n’était qu’à moitié cuite, mais Lucille la trouva délicieuse.

    Le berger les surprit en pleine digestion. Lorsqu’il découvrit son plus beau mouton amputé d’une patte, il se mit à crier. Craignant de le voir ameuter tout le voisinage, Jonathan le menaça du pistolet mais le berger continua de vociférer en brandissant son bâton.

    La balle le frappa entre les deux yeux. » (Page 47)

    Ce passage est important pour le livre car c’est à partir de ce moment que Lucille et Jonathan tuent des gens et que tout le monde s’entretue.

    JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL

    J’ai bien aimé ce récit car il était très intéressant. Le fait qu’une personne se retrouve dans le futur et découvre une vie totalement différente de celle qu’il a quittée m’a plu.

     Comme les lemmings

     RESUME Deux frères descendent en pleine nuit dans la cuisine parce qu’ils ont soif mais, étrangement, ils n’entendent aucun bruit venant de dehors, alors que d’habitude il y a les aboiements d’un chien, le bruit des voitures qui passent, et d’autres encore. Le lendemain, toujours le silence. Le héros remarque que ses parents et leur voiture ont disparu, ainsi que leur voisin, et sa voiture également. Il décide d’aller au village avec son frère en vélo, et découvre là-bas que toutes les grandes personnes ont disparu. Ils retournent chez eux, et le lendemain, ils partent à Saint-André, une ville en bord de mer. En route, ils rencontrent Emilie, une jeune fille qui les accompagne ensuite dans leur voyage. Quelques jours plus tard, ils retrouvent les voitures au pied des falaises, elles sont des milliers ! Ils en concluent que les voitures ont agi comme les lemmings, des petits rongeurs qui se précipitent dans la mer pour s’y noyer.

    PASSAGE REMARQUABLE

    « Une fois Matteo endormi, nous évoquons la situation invraisemblable que nous vivons.

    - Le cinéma adorait nous montrer les catastrophes qui nous menaçaient ! Les météorites géantes, les monstres surgis de l’espace, les cataclysmes en tout genre… Ce truc-là, personne n’y avait pensé !

    - Pour moi, c’est une sorte de virus qui tue tout le monde au-delà de quatorze ans !

    - Si c’était un virus, ils ne seraient pas tous partis en voiture ! C’est ça qui est inexplicable : les voitures !

    Deux jours plus tard, on les a vues, les voitures… Elles s’entassaient par milliers au pied des falaises d’où elles avaient manifestement plongé à pleine vitesse ! » (Page 184)

    C’est important pour l’histoire car c’est le moment où ils retrouvent toutes les voitures des personnes âgées de plus de quatorze ans.

     JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL

    J’ai bien aimé ce récit car il était très intéressant, et étrange aussi.

     Emma L. 4C novembre 2012

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    Pour cette fiche de présentation j'ai choisi une des histoires de ce livre qui s'intitule "Le bâtard de l'espace"
    Je n'ai pas très bien compris comment faire pour rédiger une fiche de lecture avec plusieurs histoires alors je vais la faire avec une seule histoire...


    Indication biographiques:

    Auteur: COLIN THIBERT
    Titre: Le bâtard de l'espace
    Edition:THIERRY MAGNIER / LES INCORRUPTIBLES

    Genre: Science-fiction

    Thème principal: Émission télévisée sur des personnes qui sont dans une navette spatiale.

    Résumé: Ce sont huit personnes qui partent dans une navette spatiale et leur vie est suivie par des millions de téléspectateurs à la télévision.
    Les candidats sont éliminés un à un par les téléspectateurs... Au fil des jours des couples se forment, quelques candidats font part de leur mécontentement  au "débectoir" : ils disent qu'ils auraient voulu sortir avec un/e autre personne mais il y avait quelqu'un qui l'avait choisie avant.
    Un jour les deux derniers candidats qui étaient encore dans la navette spatiale avaient vu à la télévision que des pakistanais avaient tiré par inadvertance un missile sur un croiseur américain qui patrouillait dans le golfe du Bengale, Jonquille et Steven avaient suivi cette guerre à la télévision. Seulement Steven étais persuadé qu'il s'agissait d'un super jeu vidéo, Jonquille avait eu du mal à lui faire comprendre que c'était réel ...
    Ils étaient probablement les deux seuls survivants de la planète.
    Steven lui dit "Nous allons recommencer l'humanité car je tu es enceinte !!!!"

    Choisir un passage remarquable d'une dizaine de lignes:
    "Huit personnes ! claironna Granger.
    Quatre femmes et quatre hommes, réunis dans un espace clos de deux cent quarante mètres carrés. Totalement coupés du monde, j'insiste là-dessus! To-ta-le-ment coupés du monde!
    Pendant trois à six mois, cela reste à définir..."

    Jugement critique personnel:
    J'ai apprécié ce livre car il y a plusieurs histoires et qu'elles sont différentes mais elles sont toutes "délirantes". Je vous conseille de choisir ce livre car il vous garantit la bonne humeur!

    Alissa L, 4C, novembre 2012


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  • Indications :

    Auteur : Anton Tchekhov504368_2846018.jpg

    Illustrateur : Philippe Dumas

    Titre : Histoires pour rire et sourire

    Collection : Médium

    Éditeur : L’école des loisirs

     Genre :  C’est un recueil de contes et nouvelles

    Thème principal : Ce sont des contes et nouvelles inspirés de la vie quotidienne en Russie vers la fin du XIXè siècle

     Résumé du livre :

    C’est un recueil de 11 petites histoires russes qui mettent en scène des personnages typiques (des chasseurs- des brigands- des paysans- des militaires- des princes …) à qui il arrive des aventures et elles nous font penser à un dicton ou une morale.

    Dans une histoire, il y a trois personnes qui volent de l'argent et au final, elles vont s'entretuer.

    Une autre histoire raconte la découverte par une femme d'un miroir déformant et elle ne pouvait plus s'en passer car elle se croyait belle comme quand elle était jeune.

    Dans une autre, c'est l'histoire d'un maire qui veut toujours de nouvelles médailles et à peine en a-t-il eu une qu'il pense à comment en obtenir une autre...

    Il y a également l'histoire d'un général qui avait mal à une dent mais personne n'avait pas pu le soulager donc il se l'arracha lui-même.

    Il y en une autre qui raconte l'histoire d'une marieuse qui rencontre un client qui souhaite une femme exactement comme elle et au final ils se marièrent.

    Dans une histoire, trois pêcheurs finissent par attraper une lotte mais au lieu de la ramasser ils sont restés l'admirer mais elle s'est sauvée et ils ont tout perdu.

    Enfin, une autre histoire raconte qu'un homme n'avait pas ciré ses bottes lui-même car il était malade mais il ne les retrouvera jamais.


    Dans ce livre, les thèmes abordés sont : le bien et le mal, le travail, l'amour et le rêve.

     Passage remarquable :

    « Trois acteurs ambulants, Smirov, Popov et Balaikine, suivaient un beau matin les traverses de la voie ferrée, quand ils trouvèrent un portefeuille. L’ayant ouvert, à leur grand étonnement et émerveillement, ils y virent vingt billets de banque, six billets à lot du deuxième emprunt et un chèque de trois mille roubles. Leur premier réflexe fut de crier « hourra », puis ils s’assirent sur le talus et  s’abandonnèrent à l’enthousiasme.

    - Ça nous fait combien chacun ? dit Smirnov en comptant l’argent. Saints du paradis !

    Cinq mille quatre cent quarante-cinq roubles ! Mes amis, mais c’est à mourir, une somme pareille ! »

     

    Ce passage montre bien que l’histoire se passe en Russie car les personnages ont des noms et une  monnaie russes.

    Dans ce passage, l’histoire démarre : ils viennent de trouver une somme d’argent sur une voie ferrée, c’est le début d’une intrigue…

    Jugement et critique :

    Les histoires sont parfois compliquées à lire et à comprendre mais par contre le fait d’avoir plusieurs petites histoires variées, ça permet de ne pas s'ennuyer.

    Alexandre N, 20/11/2012


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  •  AUTEUR : Anne Thévenin

     ILLUSTRATEUR : Sylvie Serprix

    DATE : Janvier 2009

    EDITEUR : Grasset-jeunesse

    COLLECTION : Lampe de poche

    GENRE : Nouvelles

    THEME PRINCIPAL : Il y a dix petites histoires, et ce sont toutes des histoires d'enfants.

    RESUMES

    1. Il y a l'histoire d'un petit garçon, Vassili, qui a une passion pour le violon et qui renonce un jour à sa passion pour tenter de régler les problèmes d'argent de sa famille. Sa maman, ne voulant pas que son fils renonce à sa passion décide de vendre le samovar ; unique héritage et objet de luxe de la famille ; pour acheter un violon tout neuf à son fils Vassili.

     2. C'est l'histoire de Suzon une fille de onze ans, elle a une sœur âgée de douze ans et une mère qui admire l'organisation et qui veut que tout soit parfaitement organisé. Sauf que Suzon est une petite fille dans la lune et elle veut prouver à sa mère qu'elle fait attention à beaucoup de choses autour d'elle et qu'elle n'est pas constamment dans la lune.

     3. Kévin est un petit garçon de onze ans qui ne supporte pas que les autres soit en difficulté, il aide absolument toutes les personnes qui ont un souci quelconque. En vacances il va réussir à sauver un animal pour le moins surprenant.

     4. Emilie est très cultivée pour son âge et vraiment en avance sur tous ses camarades. Depuis sa petite enfance elle beigne dans les droits de l'homme. Son père admirait Emile Zola et expliquait à Emilie tout sur son existence et Emilie elle est très intéressée.

     5.Benjamin a onze ans et ne sait toujours pas parler car il a une maladie, lors d'un weekend en famille il fait la connaissance de sa cousine Morgane qui a deux ans et demi ; et il s'entend à merveille avec elle . Benjamin va lui sauver la vie en la retirant juste à tant du bord des rails d'un train.

    6. Robinson rêve d'aller au cirque et sa grand –mère ne comprend pas trop pourquoi il attache tant d'importance à un certain cirque alors qu'il y en a des bien mieux, mais Benjamin a sa petite raison.

     7. Chloé va de plus en plus souvent chez sa meilleure ami Clara et parle très souvent de sa maman à la mère de Chloé et les parents de Clara n'ont jamais pu rencontrer ceux de Cholé. Mais cela cache une raison bien particulière.

     8. Jennifer tient absolument à avoir un petit frère et pour cela elle n'hésite pas à demander et appliquer les conseils de Leila, sa meilleure amie .

     9. Hector et Eve ne veulent pas ranger leur chambre comme leur mère leurs a demandé et pour exprimer leur désaccord , ils n'hésitent pas à employer les grands moyens .

     10. Paul s'en veut terriblement d'avoir trahi un secret. Il va essayer de réparer sa faute mais cela va être compliqué, il a dit à son petit frère que le père Noel n'existe pas, c'est dur de réparer cette erreur.

     

    PASSAGE DU LIVRE : (page 41 de l'histoire : Le train)

    " – Morgane ! Train !

     Benjamin s'était précipité pour arracher la petite fille du bord des rails. Juste à temps. Un train passait en gare à pleine vitesse.

     Adeline et Bruno se regardèrent, regardèrent Benjamin.

     - Morgane, train, répétait Benjamin en serrant sa petite cousine.

     - Ben ! Bon dieu, tu l'es sauvée ! cria son oncle.

     - Ben ? fini par dire Bruno interloqué. Tu parles !

     Tu y es arrivé !

     - Sa voix … chuchotait Adeline, comme pour elle-même … c'est le plus beau son du Monde"

     J'ai vraiment aimé ce passage de cette histoire car il termine très bien l'histoire et c'est une fin émouvante et joyeuse.

     JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL : J'ai aimé presque toutes les histoires de ce livre, c'était agréable à lire, il y a juste une histoire que je n'ai pas bien aimée mais dans l'ensemble c'était bien. J’ai aussi trouvéque le livre n'était pas très adapté à notre âge car c'était à partir de neuf ans .

    Eva C. 4A 18 novembre 2012

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    Auteur : Anne Thévenin.

     Titre: Le samovar et autre histoires.

     Edition : Grasset&Fasquelle, du 16 juillet 1949.

     Collection: Lampe de poche.

    9782246750512FS.gif Le sujet de l’histoire du samovar :

    C’est l'histoire de Vassili, chez lui il y a un samovar en argent qui est transmis de génération en génération. Vassili était un garçon qui adorait les  violons et il suivait des cours de violon. Un jour Vassili allait retrouver son professeur de violon au conservatoire comme tout les jeudis mais Monsieur Ethan, son professeur de violon lui disait comme tout les jeudis : « Ton violon de débutant, c'est fini. Je t’avais déjà prévenu l'année dernière. » Mais Vassili ne répondit rien car ses parent étaient pauvres. Quanq sa mère rentra à la maison, Vassili lui dit qu'il voudrait arrêter le conservatoire, mais sa mère ne le crut pas car il adorait faire du violon. Alors sa mère lui dit quelle allait faire des courses mais c'était pour acheter un vrai violon de meilleure qualité et Vassili était tout content en voyant le violon mais il cessa d’être content et demanda à sa mère : « Tu l’as payé avec quel argent ? » et sa mère lui dit qu’elle avait vendu le samovar en argent.


    Un passage remarquable du texte :

    Vassili devait son prénom à l'origine russe de sa famille. Les grands-parents de son père avaient émigré de Russie. Avec le samovar en argent qui trônait sur le buffet, unique héritage du côté paternel, et seul objet de luxe aussi, c'était tout ce qui subsistait de ce lointain passé. Cette après-midi du premier jour de septembre, Vassili avait retrouvé son professeur de violon au conservatoire.

    « Vassili, lui avait répété M Ethan, ton violon de débutant, c'est fini je t'avais déjà prévenu l'année dernière! Il te faut un instrument de meilleure qualité.


    J'ai choisi ce passage car :il montre que Vassili a besoin d'un nouveau violon.

    J'ai aimé cette histoire plus que les autres car elle parle de violon et j’aime bien le violon.

    Justine 4E, 30/03/2012


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    Titre: Écoute mon cœur

    Auteur: Janine Teisson

    Éditeur: Syros

    Collection: Les uns les autres

    Date: Octobre 2006

     

    Genre: roman par lettres et récit de vie. Roman à deux voix.

    Thème: Handicap

    Thème principal: La vie de deux mêmes conditions dans un siècle différent.

     

    Récit en parallèle par chapitres alternés.

     

    Résumé:

     

    Ce récit se passe dans le Sud de la France à notre époque, un homme au grand cœur, cardiaque et âgé de 76 ans, Paulou vend sa maison ( située à côté d'une autoroute où il y a beaucoup de bruit ) à des sourds-muets avec lesquels il sympathise. Leur fils Antoine Fournet est devenu un des amis de Paulou et lui apprend le langage des sourds-muets: la langue des signes. Au village les habitants les appellent « ces gens-là » car pour eux les sourds ne sont pas les bienvenus. Une immense inondation s'abat sur eux et met en péril tout le village et surtout  la maison des Fournet (les sourds-muets) et les champs de taureaux (les taureaux sont pour les villageois les animaux importants d'une de leur fête et sont le symbole de la ville).Les Fournet s'en sortent et ils sauvent les troupeaux de taureaux. Ils se font accepter et sont acclamés comme des héros par le village qui comprend que le mot « sourd » ne veut pas forcément dire « idiot » !

     

    Au XIXème siècle, un petit garçon sourd-muet nommé Jean Peyre, part à Paris dans une institution spécialisée pour que les entendants et les sourds puissent communiquer sans problèmes. Il raconte sa vie à Paris à sa sœur: sa réussite scolaire, ses progrès en langue des signes, plus tard son métier de professeur et son amour pour une sourde. Puis au fil du temps tout change. Il y a la guerre à Paris où la communication devient difficile et la vie dure. Le téléphone est inventé et les« oralistes » veulent faire parler les sourds et triomphent. Tout le monde les prend alors pour des « sans-cervelles » ou des « sauvages ».Les parents de la fiancée de Jean ne veulent pas qu'il l'épouse sous prétexte que: « ils ne faut pas que les sourds se reproduisent, ils seront des problèmes ». Sa sœur, encore en vie, est atteinte d'une maladie qui la fera mourir avant le retour de Jean dans son village natal. Désespéré, Jean se suicide dans son village qui est en fait... le village de Paulou!

    Il apprend que l'arbre le plus vieux et le plus gros où Maurice, son ami d'enfance, et lui jouaient est nommé « l'arbre du sourd-pendu » qui est en fait, l'arbre sûr lequel Jean s'est suicidé.

     

    Un passage que je trouve remarquable: Page 10/11:

     

    « Les sourds sont revenus le lendemain avec leur interprète, Laurence, une charmante fille blonde, et nous avons discuté pendant plus de deux heures. Elle me traduisait leurs signes et traduisait mes mots. Et là, j'ai eu un drôle de sentiment.

    Le père a commencé à «parler». Il faudrait dire «signer», mais ça ne me vient pas. Il me posait des questions. Ses mains dansaient, voletait, elles griffaient l’air, tapotaient, passaient sur son visage, frappaient ses côtes, là, à droite, juste au-dessus de la taille. Que disait-il ? En voix off, comme on dirait au cinéma, la traductrice – ils disent l'interprète – traduisait la danse, les mouvements saccadés, énergiques et soudain si doux, et le visage élastique que nous, les «entendants» dirions grimaçants, outré ou ridicule. Que disait-il ? Je n'entendais plus l'interprète. J'étais obligé de la faire répéter, tellement j'étais fasciné par le mime de cet homme. De temps en temps sa femme aussi prenait la parole, si on peut dire ainsi, et le petit garçons touchait le bras de son père et «signait» à toute vitesse quelque chose qui les faisait rire tous les trois. Moi j'étais en dehors. Étranger. S'il n'y avait pas eu l'interprète, les mains de ces trois  personnes, tantôt souriantes, tantôt sérieuses, auraient dansé pour rien, dans le silence, dans l'ignorance. Mon ignorance. Et pour eux ma voix ne servait à rien. J'étais assommé par cette révélation. « Qui est le handicapé ici? C'est moi! » ai-je pensé. Je me suis senti anormal. C'était bizarre.

     

    Mon commentaire personnel:

     

    J'ai aimé ce livre car il montre la différence entre les croyances de maintenant et celles d'autrefois. Il y a une vision complètement différente et c'est ça qui fait le charme du livre. Il raconte aussi l'histoire de l'affection entre les entendants et les sourds et montre l'attachement que peuvent avoir les gens. La fin est un peu triste pour Jean mais l’histoire se finit bien pour les Fournet. Et voilà le charme du livre. Il est un peu difficile à lire (recommandé dès 13 ans ) mais c'est un défi à relever !

    Marianne K, 4 A, 24/10/2012

    TITRE : ECOUTE MON COEUR dyn005 original 333 79 gif 9088acd107a2d031b8ed3a052b4d8f9

    AUTEUR : JANINE TEISSON

    EDITEUR : SYROS

    COLLECTION : LES UNS LES AUTRES, Mars 2005

    GENRE: C’est un recueil de lettres.

    THEME PRINCIPAL : Lettres d’enfants sourds.

    RESUMÉ DU SUJET:  C’est l'histoire d'une famille de sourds qui achète une maison au vieux Paulou. Ces sourds sont très mal vus dans le village, le village ne les prend pas comme amis sauf le vieux Paulou qui éprouve de la sympathie pour eux.

    Un siècle plus tôt, c’est un jeune sourd né dans une famille non sourde qui raconte ce qu'il fait dans l'institut où il a été placé. Il devient, à l’âge de 18 ans, professeur mais sa carrière est menacée car l'État encourage les oralistes.

    PASSAGE REMARQUABLE:

    20 septembre 1866

    Chère parents, chère ma sœur,

    Regarde tous mon écriture. Elle ne pas encore trop bonne mais monsieur Chassou  dit moi écrire vous pour montrer. J’appris épeler le français avec les mains. On dit : français manuel. Grands  progrès je fais.

    Je passe en deuxième niveau. Je suis plus jeune de tous. Neuf ans demain (9). Je compris le voyage de notre village à Paris coute  cher. Je être courageux. Pour mes dix ans ira vous retrouve ?

     Soyez en bonne santé. Merci ma sœur des lettre je lis. Bel dessin.

     J’embrasse tous. Caresse mon chien.                 

    Jean.         

    JUGEMENT :

    Je vous conseille de lire ce livre car il nous apprend ce que vivent les sourds toute leur vie et car c’est un très beau livre.

    Flavio B, 4A, 13/10/12

    Et voici un autre extrait enregistré par un élève de 3e ! http://0z.fr/W68zP


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