• Auteur: Annie Saumont
    Titre: La guerre est déclarée
    Éditions: Flammarion date:2005
    Genre: recueil de nouvelles
    Illustrateur: Joelle Jolivet
    Thème principal: C’est une petite fille qui parle de la guerre.

    Résumé
    Dans son livre, Annie Saumont raconte plusieurs histoires (nouvelles), dont le thème central est la guerre. Dans la première nouvelle « La guerre est déclarée », la narratrice est une étudiante en sciences économiques. Elle s’interroge sur son avenir et cela lui fait peur. Du coup, se rappelant une anecdote de son grand père, qui avait échappé à une punition car au même moment sa mère avait annoncé à son père que la guerre était déclarée, elle décide de vivre comme si la guerre allait être déclarée. Ainsi, grâce à cela, n'étant pas sûre de ses sentiments envers son compagnon, elle a une excuse pour ne pas envisager des projets d'avenir.

    Passage remarquable
    j'ai bien aimé le passage p27 l.170 à 184, car c'est là ou elle va commencer à raconter plein d’histoires.

    Critique personnelle : Ce livre a été difficile à comprendre avec tous ces changements d'histoire.

    Julie L, 4A, Novembre 2012

     

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    C'est l'histoire de plusieurs enfants (jeunes) qui racontent chacun une nouvelle se passant pendant la guerre de 1939-1945.

    Chacun donne un titre à sa nouvelle en le repétant quelques fois dans le texte. Voici un extrait:

    "J'ai trouvé mieux : La guerre est déclarée. Pas vraiment mon invention. J'avai
    s souvent écouté bon-papa qui répétait ses histoires inabituelles... "


    Ce livre publié aux éditions Flammarion collection Etonnants classiques se compose de huit nouvelles :
    -"La guerre est déclarée"
    - "Vous auriez dû changer à Dol"
    - "Les voilà"
    - "La Composition d'orthographe"
    - "Sarah"
    - "C'était hier"
    - "Le cri"
    - "Le sucre"

    On y trouve aussi un dossier de documents complémentaires sur la seconde guerre mondiale. C'est un livre particulièrement recommandé aux élèves de troisième.

    Méven M, 5B, février 2009


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  • Titre : Prisonniers du miroir

    Auteur: R.L Stine

    Edition: Bayard poche

    Collection : Chair de poulePRISONNIERS-DU-MIROIR-N4_ouvrage_large.jpg

    Genre: roman d’aventure

    Theme principal: trois enfants qui découvre un miroir magique

    Résumé : Un jour, Paul et ses amis découvrent un miroir dans un grenier. Mais ce miroir a une particularité il rend les personnes invisibles. Très vite Paul et ses amis font une compétition, celui qui restera le plus longtemps invisible aura gagné. Mais plus ils l’utilisaient, plus Paul se rendait compte que les personnes qui s’en servaient restaient plus longtemps invisibles. Mais un jour ses amis et lui restèrent bloqués dans le miroir. Comment allaient-ils faire pour en sortir? À vous de lire ce livre pour savoir comment ils sont sortis du miroir en vie.

    Extrait choisi : « Les yeux exorbités, l’air terrifié, ils regardait tous les trois dans ma direction. Mais j’étais sûr qu’ils bluffaient. » Pages 21 du livre chair de poule.

    Jugement: J’ai trouvé ce livre bien car il y a du suspens et quelquefois on a l’impression de vraiment vivre ce qu’on lit. Mais en revanche je n’ai pas très bien compris la fin de ce livre.

    Mathis B, 4A, novembre 2012  


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  • Auteur : Eric-Emmanuel Schmitt

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    Date d’édition: mai 2011

    Editeur : Magnard

    Collection : classiques & contemporains

    Genre : deux nouvelles à chute

     Thème principal 1 :le procès d’une femme qui a tué son mari

    Thème principal 2 : un homme en vacances avec une amie se fait des films à cause d’un livre.

     

    Résumé 1 :

        C’est l’histoire d’un couple qui part en vacances à la montagne. La femme, Gabrielle, veut tuer son mari, Gabriel, car elle sait qu’il a une cachette secrète dans son bureau et veut voir ce qu’il cache dedans. Elle est persuadée qu’il garde des lettres et des photos de femmes qu’elle ne connaît pas, et qu’il la trompait.

        Donc, Gabrielle et Gabriel se promènent dans la montagne. Soudain, Gabrielle, qui marche derrière son mari, le pousse dans le vide. Elle regarde autour d’elle : personne ne l’a vu. Elle court « chercher du secours », et arrive dans un village, où, en pleurs, raconte que son mari est tombé. La police l’interroge, pour savoir si c’est elle qui l’a tué, puis la relâche. Gabrielle en profite pour rentrer chez elle, ouvre la cachette secrète, et voit qu’il y a quatre boîtes. Elle n’a pas le temps de les ouvrir, car les policiers entrent chez elle et l’emmènent au commissariat. Un berger dit l’avoir vu pousser Gabriel.

        Un procès commence. Gabrielle reste deux ans et demi en détention préventive. Un jour, elle demande à son avocat de lui apporter les quatre boîtes restées sur le bureau de son mari.

    Quand elle les reçoit, elle les ouvre et découvre que son mari gardait toutes leurs lettres d’amour et billets de théâtre depuis le début de leur relation. Le procès se termine le lendemain.

        Un mois après, elle retourne à la montagne, et, du chemin où elle avait poussé son mari deux ans et demi plus tôt, elle se jette dans le vide.

     Résumé 2 :

        Un professeur et son amie partent en vacances en Ardèche. Le professeur, Maurice, déteste les romans. Son, amie Sylvie, par contre, les adore. Au supermarché, Sylvie achète un livre, un roman justement. Le soir, en cachette, Maurice le prend et commence à le lire ; Emporté dans l’histoire, il ne peut plus s’arrêter, et le lendemain soir, il continue à le lire.

    Soudain, il s’arrête. Il se demande si les volets sont biens fermés, car il a toujours eu peur des voleurs. Il descend, et voit dans le salon, un inconnu chauve de dos. Il panique, appelle Sylvie ; le temps qu’elle arrive, l’inconnu a disparu.

        Le lendemain soir, il s’endort avec un couteau à côté de lui. Il se réveille dans la nuit, et voit sa porte s’ouvrir très lentement… Lorsque l’inconnu entre, il est prêt. Il bondit avec le couteau…

        Sylvie se fait interroger le lendemain par la police : on a retrouvé le corps sans vie de Maurice pendant la nuit. La jeune femme s’explique. Comme elle a un cancer, elle perd ses cheveux. Elle met donc une perruque, mais ne veut pas que Maurice le découvre. Le soir précédent, elle a vu son roman sur le lit de son ami. Elle voulait le récupérer quand il dormait, mais quand elle est entrée dans sa chambre, il s’est précipité avec un couteau. Quand elle l’a repoussé en arrière, Maurice a cogné le mur et sa nuque s’est brisée contre la table de chevet.

        Maurice est mort, et Sylvie va sans doute finir en prison pour homicide…

    Passage 1 :  

       " Maître Plissier avait posé sur la table les quatre boîtes en fer.

    - Voilà ! Maintenant, expliquez-moi.

    Gabrielle ne répondit pas. Elle s’assit et ouvrit, vorace, les couvercles. Ses doigts agitèrent les papiers qui gisaient à l’intérieur, puis en tirèrent certains pour les déchiffrer, d’autres encore, d’autres…

        Après quelques minutes, Gabrielle tomba sur le sol, prostrée, suffocant. Maître Plissier alerta les gardiennes, lesquelles l’aidèrent à déplier la prisonnière, l’obligèrent à respirer. Une civière emporta Gabrielle à l’infirmerie où on lui administra un calmant.

        Une heure plus tard, ayant retrouvé son souffle, elle demanda où était passé son avocat. On l’informa qu’il était reparti avec les boîtes pour se préparer à l’audience.

        Après avoir supplié qu’on lui donna un sédatif, Gabrielle sombra de nouveau dans l’inconscience. Tout plutôt que penser à ce que recelaient les coffrets métalliques…"

    J’ai choisi ce passage car c’est à ce moment que Gabrielle découvre à quel point elle s’est trompée sur son mari.

     Passage 2 :

        "Un homme parcourait lentement le salon sous les rayons obliques envoyés par la lune. Sur les murs, son ombre gigantesque impressionnait davantage, découpant un menton dur, des mâchoires lourdes et de curieuses oreilles en pointe. Silencieux, méticuleux, il soulevait chaque coussin, chaque plaid, essuyait les étagères à l’aveuglette.

        Maurice retint son souffle. Le calme de l’intrus le terrifiait autant que sa présence. Par accrocs, la lumière mercure touchait son crâne chauve, lisse comme celui d’un bonze. Le colosse ne se cognait ni aux meubles ni aux canapés, comme s’il connaissait déjà cette maison, continuait d’ausculter les lieux, tâtant deux fois, trois fois les mêmes endroits. Que cherchait-il ?"

     J’ai choisi ce passage car c’est à partir de ce moment que Maurice a vraiment peur, et qu’il va mourir.

    Jugement critique personnel : J’ai trouvé ce livre un peu ennuyeux, car c’est un peu la même chose dans les deux histoires : un meurtre qui n’aurait pas du avoir lieu.

        Comme ce sont des nouvelles à chute, l’histoire s’arrête brusquement, et on ne peut pas savoir ce qui se passe ensuite. Je trouve que c’est dommage pour ceux qui veulent savoir la suite.

    Floriane K, 4A, novembre 2012 


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    2nde 2, novembre 2012

    Commentaires critiques mais bienveillants souhaités

    barre46

    Le Parfum est un roman où tout est décrit, dans les moindres détails. Lorsque l'auteur parle des odeurs des rues de Paris et de l'atelier de Baldini, on a l'impression de les sentir.
    « A l'époque dont nous parlons, il régnait dans les villes une puanteur à peine imaginable pour les modernes que nous sommes. Les rues puaient le fumier, les arrière-cours puaient l'urine, les cages d'escalier puaient le bois moisi et la crotte de rat, les cuisines le chou pourri et la graisse de mouton; les pièces d'habitation mal aérées
     puaient la poussière renfermée, les chambres à coucher puaient les draps graisseux, les courtepointes moites et le remugle âcre des pots de chambre. Les cheminées crachaient une puanteur de soufre, les tanneries la puanteur de leurs bains corrosifs, et les abattoirs la puanteur du sang caillé. Les gens puaient la sueur et les vêtements non lavés; leurs bouches puaient les dents gâtées, leurs estomacs puaient le jus d'oignons, et leurs corps, dès qu'ils n'étaient plus tout jeunes, puaient le vieux fromage et le lait aigre et les tumeurs éruptives. Les rivières puaient, les places puaient, les églises puaient, cela puait sous les ponts et dans les palais. Le paysan puait comme le prêtre, le compagnon tout comme l'épouse de son maître artisan, la noblesse puait du haut jusqu'en bas, et le roi lui-même puait, il puait comme un fauve, et la reine comme une vieille chèvre, été comme hiver. Car en ce XVIIIe siècle, l'activité délétère des bactéries ne rencontrait encore aucune limite, aussi n'y avait-il aucune activité humaine, qu'elle fût constructive ou destructive, aucune manifestation de la vie en germe ou bien à son déclin, qui ne fût accompagnée de puanteur. Et c'est naturellement à Paris que la puanteur était la plus grande, car Paris était la plus grande ville de France. Et au sein de la capitale il était un endroit où la puanteur régnait de façon particulièrement infernale entre la rue aux Fers et la rue de la Ferronnerie, c'était le cimetière des Innocents. (...) Or c'est là, à l'endroit le plus puant de tout le royaume, que vit le jour, le 17 juillet 1738, Jean-Baptiste Grenouille. »

    Si quelque s'intéresse à la parfumerie, ce livre décrit comment on fait pour "capturer les odeurs" et les conserver. Il explique aussi pourquoi les essences de fleurs sont chères.

    Raphaëlle,3e D, 19/10/2008


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  •  INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES

    Auteur : Nicole Schneegans 

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    Titre : La plus grande lettre du monde 

     Collection : Le livre de poche jeunesse

    Editeur : Hachette, 2001

     

    GENRE : Ce livre est un récit de vie (à travers une lettre)

    THEME PRINCIPAL : La vie de Nicolas, un enfant de 12 ans, racontée à sa future femme dans une lettre après le décès de sa grand-mère.

    RESUME : Nicolas a 12 ans et il est en 6ème. Sa mère est morte dans un accident de train alors qu’il n’était encore qu’un nourrisson et il n’a jamais connu son père. De ce fait, il vit depuis toujours chez ses grands-parents. Mais sa grand-mère tombe malade et décède. Il est extrêmement bouleversé par la disparition de sa « Grand-Mam’s » et perd la parole. Il se lance alors dans l’écriture d’une très longue lettre adressée à sa future femme et qu’il lui donnera le jour de leur mariage. À l’intérieur, il lui raconte tout : ses peines, son année scolaire, son quotidien et la lutte que son grand père (G.P.) et Mr Delahaye (son professeur de français) vont mener pour qu’il accepte de rencontrer son père biologique. 

    LE PASSAGE QUE J’AI CHOISI : « En fait, si je t’écris, c’est que j’ai un grave problème depuis huit jours : je ne peux plus parler. Je vois bien que G.P. commence à s’inquiéter, mais rien à faire, je suis coincé. 

    Le médecin a dit : «  C’est le choc, ne vous tourmentez pas, tout va rentrer dans l’ordre dans quelque temps. » 

    En attendant, je me tais. C’est embêtant, parce que j’étais assez bavard avant, et parce que cette affaire me donne un air triste. Or, Grand-Mam’s, quand elle était encore vivante, m’a demandé de m’occuper de G.P. et de lui changer les idées. 

    Je sais qu’elle a demandé la même chose à Julia, seulement Julia n’est pas là tout le temps. 

    Grand-Mam’s est morte il y a huit jours. Elle ne te connaîtra pas. » 

    La plus grande lettre du mondePage 9 

    MON EXPLICATION CONCERNANT LE PASSAGE : Ce passage est très significatif pour le livre car il démontre ce qui est à l’origine de cette très longue lettre. Il explique pourquoi Nicolas décide d’écrire à sa future épouse. 

    MON COMMENTAIRE CONCERNANT LE PASSAGE : Ce passage me plait car ce petit garçon « parle » à sa future épouse comme si il la connaissait déjà. Il écrit de façon naturelle et dans un langage courrant et j’apprécie cela.Ce passage résume également très bien cette histoire.

    MON JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL DU LIVRE : J’ai beaucoup aimé ce livre car je l’ai trouvé très réaliste. Je suis rentrée très facilement dans l’histoire et je ne me suis pas ennuyée une seule fois en le lisant. Il aborde plein de thèmes différents (comme la famille, la tristesse, l’amour, la mort,…etc.) ce qui le rend encore plus intéressant. 

    Ce qui m’a déplu, en revanche, c’est que l’on ne sait pas grand chose des personnages et que par conséquent on a du mal à les visualiser. Je conseille tout de même ce roman car il est simple à lire et que l’on se retrouve un peu dans ce personnage principal. 

    La note que j’attribuerais à ce livre : 9,75/10

    Margaux, 4ème C, 13/10/12


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