• JEAN-CÔME NOGUES

     « Le Faucon Déniché »9782092541548_1_75.jpg
     Publié par Nathan en 1999, Collection Pleine Lune Aventure

    Genre :  il s'agit d'un roman historique d'aventures

     Thème principal :la vie d'un jeune garçon du Moyen Âge qui capture un faucon

     Résumé : C'est un jeune paysan, Martin, de 12 ans qui un matin voulut aller chercher un faucon qu’il avait repéré auparavant dans un nid sachant bien que les serfs n'avaient pas le droit d’élever des faucons. Donc sa mère essaya de l'en empêcher mais cela était plus fort que lui il fallait absolument qu'il aille le chercher. Quand le fauconnier remarqua un faucon chez ce garçon, il alla voir et effectivement il trouva un faucon. Il voulut le récupérer mais Martin ne voulut pas car il avait passé du temps pour le dresser. Le fauconnier fit prendre le faucon et ordonna de le faire prisonnier au château. En prison il avait une botte de paille mangée par les rats et de temps à autre il avait du pain sec et de l'eau. Un jour, il vit de la fumée dans son village, à ce moment là, il comprit que le château allait être attaqué : il chercha à prévenir les gardes et le roi mais il était enfermé. Le seul recours pour prévenir quelqu'un  était de s'échapper par sa fenêtre jusqu'au tour de garde. Martin alla sonner la cloche pour prévenir le village. Une terrible guerre s'en suivit.

    A la fin de cette guerre, Martin s'échappe avec ses parents. Les serviteurs du roi cherchent Martin sans succès jusqu'au jour d'une chasse où le faucon de Martin devait tuer une perdrix. Martin se trouvant là il l'en empêche. Le roi demande à Martin de se présenter, et en guise de remerciement pour avoir prévenu de l'attaque du château : il lui rend son faucon.

     

    Passage remarquable : P84. « […] Plus efficace était la cloche au bout de la corde. Martin, le souffle haletant, se suspendit et tira de toutes ses forces. La bonne cloche ébranla l'air d'un coup très sourd. Martin s'accrocha de nouveau. Il tira. Un deuxième coup, un troisième. Le gros bourdon sonnait maintenant le tocsin à toute volée.

    Martin ne faiblissait pas. C'était lui qui faisait tout ce bruit dans la chapelle du Seigneur, lui, le petit gardien d'oies ? Ce n'était pas possible ! Une sorte de joie s'empara de son cœur. Ses pieds, à chaque balancement de la cloche, quittaient le sol pour y revenir au balancement suivant. Quel jeu passionnant si ce n'avait été un cri d'alarme ! »

    Signification : Sans la présence de Martin, et sans son courage, le château aurait été attaqué par surprise. Malgré la position sociale du jeune garçon, tous les villageois ont réagi pour sauver le château.

     

    Jugement critique personnel :

     La lecture de ce roman nous permet d'apprendre ou de revoir des mots propres à l'époque du Moyen Âge. J'y retrouve également la hiérarchie sociale, le roi, les serfs... et le peu de crédit apporté aux petites gens. Je remarque que bien que le jeune Martin ait désobéit et soit prisonnier, il cherche quand même à sauver le château dont il dépend. Je conseillerai ce livre parce que cette histoire traite de la vie d'un jeune de mon âge à une époque qui nous est bien lointaine.

    Fabien M, 5C, novembre 2012


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  • Titre : Les déferlantes

     

    Auteur : Claudie GallayLES DEFERLANTES

     

    Edition : Ed. du Rouergue

     

    Résumé : Oui, ce roman est un petit bijou ! (Cf critique sur couverture). Les lieux d’abord : l’auteur réussit la performance de nous donner envie de découvrir ce coin perdu de Normandie. Les personnages ensuite : elle nous décrit des hommes et des femmes à la personnalité affirmée, attachante ou particulière. Et les réparties de Max sont succulentes.

    L’intrigue enfin se dévoile par petites touches jusqu’à l’émotion puis l’apaisement.

     

    Passage : « Une première vague est passée par-dessus la digue. Il y en a eu d’autres. Et avec, ce vacarme infernal… L’orage a crevé. Des déferlantes d’eau se sont abattues sur la maison. Le visage collé à la fenêtre, j’ai essayé de voir dehors. Les lampadaires étaient éteints. Il n’y avait plus de lumière. Dans la lueur des éclairs, les rochers qui encerclaient le phare semblaient voler en éclats. Je n’avais jamais connu ça. Je ne sais pas si j’aurais eu envie d’être ailleurs. Quand j’ai regardé sur le quai, j’ai vu que la voiture de Lambert n’était plus là. Elle remontait en direction du village. Les feux arrière qui s’éloignaient. Et puis plus rien. »

     

    Ce passage, tiré des premières pages du livre, nous met tout de suite dans l’ambiance. Le climat est rude. Il convient au personnage principal qui vient du sud pour oublier. Et puis, un autre personnage d’importance pour l’histoire, est ici mentionné.  

     

    Véronique Nédélec


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  • Coup de gigot et autres histoires à faire peurproduct 9782070612918 244x0
    Roald Dahl
    Folio Junior

    C'est l'histoire de monsieur Maloney qui revenait chez lui après le travail  pour rejoindre sa femme Mary Maloney. Il lui annonça une mauvaise nouvelle qui eut pour conséquence de la rendre furieuse. Elle fut si en colère qu'elle tua son mari en le frappant avec un gigot. Mary ne se sentait pas du tout mal après avoir commis ce crime. Elle se rendit par la suite au marché du village et parla avec le marchand comme si de rien n'était. Lorsque Mary revint à son domicile, elle appela les policiers et ceux-ci crurent ce qu'elle leur raconta à propos du fait qu'elle n'était pas chez elle au moment-même où le crime s'était produit. Les policiers firent leur enquête et lorsqu'ils eurent fini, Mary leur offrit de rester pour prendre le repas avec elle. Sans le savoir, les policiers mangèrent le gigot qui avait servi d'arme pour le crime de monsieur Maloney.

    Dany, 4C, novembre 2012

     


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  • Titre : C'était la guerre 

     Auteurs : Annie Saumont, Italo Calvino, Robert Westall, Hervé

                   Le Tellier, Jean-Noël Blanc, Jaroslaw Iwaszkiewicz

    L’éditeur : Hachette Jeunesse

    Collection : Courts Toujours51THPAYCCBL.jpg

    Genre : anthologie de six nouvelles

     

    Présentation  de la nouvelle : « Adolf » de Robert Westall

    Thème principal : Une amitié entre un adolescent et un ancien héros de guerre

    Résumé 

    C’est l’histoire de Billy Martin qui va chercher une bière à l’épicerie pour son père. Sur le chemin, il fait la connaissance d’Adolf qui lui propose de faire ses courses en échange d’un peu d’argent. Billy accepte et quand il ramène les courses à Adolf, il lui montre ses tableaux et ils discutent de plusieurs sujets. Un jour, Adolf lui parle de « Dresde », une ville allemande qui s’est fait bombarder par les anglais pendant la guerre 1939-1945. Billy fait des recherches pour trouver ce qui s’est vraiment passé là-bas mais il ne se trouve qu’en face de personnes qui ne disent pas la vérité. Après plusieurs recherches, il trouve le livre d’Adolf Hitler qui raconte tout ce qui s’est passé sur la guerre, il le lit et en parle à un camarade. C’est là que les ennuis commencent car il raconte à tout le monde qu’Adolf est Adolf Hitler. Un groupe de punk tague sa maison d’insultes, une émeute éclate devant chez lui. Billy, inquiet, décide de tout raconter à son père qui lui dit qu'Adolf ne peut pas être Adolf Hitler car il était mort depuis longtemps. Ils partent à la maison d’Adolf qui est en flammes. Ils appellent la police qui sauve Adolf. Plus tard, ils apprennent qu’Adolf était en fait un grand héros de guerre polonais.

    Passage remarquable :

     «La guerre, a ajouté Simms, elle a de drôles d’effets sur les gens – des années après. Le vieux Krainer a commencé par combattre Hitler et il a fini par se prendre pour Hitler. Je suis content d’avoir seulement été dans la défense anti-aérienne – loin de Lowestoft. Papa et moi, on a pris notre bière et on est parti. Les fenêtres aveugles de la maison incendiée d’Adolf Krainer ont semblé nous suivre, comme des yeux, tout le long de Tennyson Terrace."

    La guerre fait changer les gens, elle laisse des traces sur les visages et sur les caractères.

    Jugement critique :

    J’ai apprécié cette nouvelle car cela parle d’une amitié entre un adolescent de 14 ans, qui pourrait être moi, et un vieil homme marqué par la guerre, puis d’une rumeur qui s’installe autour de cette amitié, et qui a failli couter la vie à une personne. Mais cet adolescent a permis au vieil homme de récupérer son honneur de héros.

    Ewen, 4A, novembre 2012


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  •         -Titre : Les dents de la nuit   petite anthologie "vampirique" arton355.jpg

            -Auteur :   Sarah Cohen-Scali

            -Edition :       -date :   2009

                                 -éditeur : hachette livre

                                 -collection : le livre de poche jeunesse

            -Genre : recueil de nouvelles fantastiques

           -Thème principal : 10 petites histoires vampiriques

           -Résumé : dix petits récits comportant une histoire sur un prêtre amoureux d’une morte qui est en réalité un vampire;  une autre d’une dame blanche qui révèle l’histoire de la  dispute entre deux frères dont un vampire qui est à l’origine de sa pâleur ; une sur le voyage d’un diplomate dans un village terrorisé par un vampire qui contamine tous ses habitants; une sur un homme qui pleure la mort de sa femme dans un cimetière où se réveillent les morts en pleine nuit ; faite par Guy de Maupassant , une sur l’invité de Dracula qui se perd dans un village fantôme ; une sur un vampire qui loge dans un hôtel et qui se fait tuer par un petit garçon, une sur un petit garçon qui adore Dracula et adopte une chauve-souris, une sur un tueur en série qui se fait vampiriser par une petite fille, une sur un jeune journaliste qui étudie sur un vampire qui massacre des gens, et une sur une jeune fille qui adore un certain liquide rouge puis qui fait un malaise dans un restaurant et se retrouve à l’hôpital et toutes les nuits, boit le sang des patients.

          -Extraits choisis :

    De « La Morte » de Guy de Maupassant.

     « Et sans peur maintenant, courant au milieu des cercueils entrouverts, au milieu des cadavres, au milieu des squelettes, j’allai vers elle, sûr que je la trouverais aussitôt.

    Je la reconnus de loin, sans voir le visage enveloppé du suaire.

    Et sur la croix de marbre où tout à l’heure j’avais lu : "Elle aima, fut aimée, et mourut", j’aperçus :

    "Etant sotie un jour pour tromper son amant, elle eut froid sous la pluie, et mourut."

    Il paraît qu’on me ramassa, inanimé, au jour levant, auprès d’une tombe. »

    De « La Morte » de Guy de Maupassant. J’ai mis ce passage car l’homme qui aimait cette femme et l’avait pleurée pendant un an voit qu’elle le trompait.

     De «  l’Homme Du Second » de Ray Bradbury. 

     « J’ai entendu dire le garçon dire que Koberman vivait encore après que toutes ces chosesavaient été extraites de lui. (…)

    Le gamin a dit cela ?

     Il l’a dit.

    Alors, qu’est-ce qui a tué finalement Koberman ?

    Le coroner écarta quelques brins de fil à coudre :

    Ceci, dit-il.

    Le soleil mettait une froide lumière sur un trésor à demi révélé : six dollars soixante-dix en décimes d’argent dans la poitrine de M.Koberman. »

    J’ai choisi ce passage car l’on prouve que l’argent tue les vampires.

     De « Le Choc » de Sarah K. 

    « Retrouvant pour un temps la mobilité de ses bras qu’il avait vainement agités pour tenter de repousser les lèvres soudées à sa jugulaire telle une immonde ventouse, il avait lâché la feuille qui avait volé sur son bureau et atterri non loin de lui. Certes, sa vue devenait de plus en plus trouble, il ne put lire correctement les chiffres et les pourcentages qui en temps normal n’auraient aucun secret pour lui, mais quelques mots cependant – l’essentiel de la phrase de conclusion -  accrochèrent son regard avant qu’il ne s’éteignît.

     Lucie Rawestern avait fait une violente allergie à l’ail. »

    j’ai choisi ce passage car le médecin découvre le résultat de l’analyse de Lucie qui était à ce moment en train de boire son sang. On découvre aussi que Lucie est belle et bien un vampire car elle est allergique à l’ail.

     Jugement critique personnel :

    J’ai bien aimé ce livre car j’ai pu comparer les informations sur les vampires à celles que je savais déjà. Je n’ai pas trop aimé la 1ére nouvelle car le thème était trop religieux. Les nouvelles sont variées. Elles vont de 1850 à aujourd’hui. Je conseille ce livre à ceux qui aiment lire le fantastique.

    Kim, 4C, novembre 2012


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