• AUTEUR : Claire Gratias - 
    EDITEUR : Syros Jeunesse
    COLLECTION : Rat noir
    GENRE : Roman noir (à partir de 13 ans)


    Nicolas arrive dans son nouveau collège où il rencontre Sam et Cyntia qui vont devenir ses amis. Il tombe amoureux d'une fille de sa classe, Marie mais Dylan, surnommé "le caïd" par les autres qui ont peur de lui, aime aussi Marie. Or Dylan est jaloux de l'intérêt que porte Marie à Nicolas parce qu'il sait jouer de la flûte traversière. Alors, petit à petit, Dylan se met sur la route de Nicolas et commence à le harceler, le provoquer, l'accrocher.
    Un jour Nicolas, énervé de ce que lui fait endurer Dylan, trouve un revolver dans sa maison. Et puis un jour, Dylan va trop loin, il tue le chien de Nicolas, Rudy. Nicolas, pris de souffrance, tue à son tour Dylan.

    C'est un récit noir et réaliste qui raconte les souffrances, la violence et ses conséquences. On y trouve les souffrances d'un enfant qui a des problèmes familiaux et qui s'endurcit.

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  • L'auteur de ce roman édité dans la revue Je Bouquine n° 277 est Gudule, l'illustrateur est Yann Tisseron.
    Pink et Lola vont partir seules passer deux jours à Bruges. Elles sont très heureuses de partir mais elles ne savent pas ce qui les attend : elles ne vont pas être déçues du voyage car cette ville est pleine de mystère.


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  • Titre : C'était mon oncle !

    auteur : Yves Grevet

    Editeur: Syros
    Collection: Tempo

    Illustrateur : Tomas Zarachowicz

    Je n'ai pas vraiment aimé ce livre car il parle d'un meurtre et c'est un roman policier or, moi, je n'aime pas ce genre de romans.
    J'ai juste aimé un peu le début quand le héros, Noé, est dans le salon avec ses parents.

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  •                                            Titre : La loi du retour, II, L'hôtel du retour 

    Auteur : Claude Gutman           
    Collection : Pages blanches, Folio Junior 
    Editeur : Gallimard
    Illustrateur(s) de couverture : Yan Nascimbene       

    Les personnages principaux sont David Grunbaum, Monsieur Rigal, Monsieur Legendre, Pimpin (son vrai prénom est Maurice), Mme Bianchotti, M. Rosenberg.

    Au début du roman, je ne comprenais pas grand chose : l'histoire était ennuyeuse. Petit à petit, cela devenait de plus en plus intéressant.
    Le héros de cette histoire est David, un jeune de quinze ans. L'histoire se déroule au cours de la seconde guerre mondiale, il y a des nazis, la gestapo.
    La fin de l'histoire m'a déçue car le héros avait été arraché à ses parents mais il pensait toujours qu'ils étaient encore en vie et en fait, ils étaient morts dans un camp de concentration. Je trouve que l'histoire s'est terminé étrangement.


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  • Titre : Compagnons

    Auteur : Louis Guilloux

    Edition du Centenaire


    Ce livre raconte l'histoire d'un homme qui accompagne un malade en s'occupant de lui d'abord à son domicile, puis à l'hôpital, jusqu'à sa mort.

    Ce livre ne m'a pas vraiment plu car je le trouve lent et répétitif.


    Voici un article d'archives Ouest-France qui présente l'auteur et le livre :

    http://www.ouest-france.fr/2004/01/07/rennes/Louis-Guilloux-compagnon-de-voeux-42272702.html



    Louis Guilloux, compagnon de voeux - Rennes

    mercredi 07 janvier 2004
    Louis Guilloux est d'abord le nom d'un grand écrivain avant d'être celui d'un lycée. Il a notamment écrit « Compagnons », récit sur la fraternité et la dignité ouvrières, réédité grâce notamment à la Ville de Rennes.

    Une nouvelle de l'écrivain rééditée aux frais de la Ville à 4 000 exemplaires


    En lien avec la société des Amis de Louis Guilloux, la Ville de Rennes a fait rééditer à 4 000 exemplaires « Compagnons », une magnifique nouvelle de 60 pages de l'écrivain briochin (1899-1980). Ce petit ouvrage dédié à la fraternité ouvrière, préfacé par Albert Camus, est offert lors des voeux du maire à l'hôtel de ville.

    Combien de lycéens de l'établissement scolaire Louis-Guilloux (Beaulieu) savent que leur bahut porte le nom d'un des plus grands écrivains français du 20 e siècle, né et mort à Saint-Brieuc ? L'initiative, prise par la société des Amis de Louis Guilloux, présidée par Paul Chaslin, de faire financer par des collectivités locales de Bretagne et Pays de Loire, la réédition, aux éditions du Centenaire, de « Compagnons », permet de redonner un coup de projecteur sur l'auteur du « Pain des rêves » et du « Sang Noir ». Car la Ville de Rennes a choisi pour sa part d'en acquérir 4 000 exemplaires, distribués lors des voeux du maire.

    Fils d'artisans-cordonniers de Saint-Brieuc, Louis Guilloux a d'abord été traducteur avant de devenir un écrivain reconnu, partageant sa vie entre Saint-Brieuc et Paris, où il côtoie Jean Grenier, Albert Camus, Jean Guéhenno etc. Du côté des pauvres et des exclus, homme de convictions, proche un temps des communistes, Louis Guilloux a puisé dans la tradition ouvrière l'inspiration de ses romans. « La Maison du Peuple » en 1927 est son premier grand chef-d'oeuvre. Puis ce sont, entre autres, « Angelina » en 1934, « Le Sang Noir » (1935) qui loupe de peu le Goncourt, « Le Pain des rêves » (1942) ; le « Jeu de Patience » (1949, prix Renaudot), « Salido » suivi de « Ok Joe » (1976). Sans oublier les fameux « Carnets ».

    « Ne flatte, ni ne méprise »

    Publié en 1931, « Compagnons » est moins connu mais pour ceux qui aiment Louis Guilloux, comme Paul Chaslin, « c'est un petit chef-d'oeuvre ». Cette nouvelle raconte l'histoire de trois compagnons maçons qui doivent vivre la mort, par maladie, de l'un d'entre eux. La beauté de ce texte réside dans sa belle simplicité et dans son thème : la fraternité ouvrière. Saluant en Louis Guilloux l'écrivain qui sait parler de la douleur, Albert Camus écrit dans la préface de « Compagnons » : « J'admire et j'aime l'oeuvre de Louis Guilloux qui ne flatte ni ne méprise le peuple dont il parle et qui lui restitue la seule grandeur qu'on ne puisse lui arracher, celle de la vérité ». Pour Romain Rolland « Compagnons » est « un beau récit, sobre et juste, viril et tendre ».

    Dans sa biographie consacrée à Louis Guilloux (Coop Breizh), Yves Loisel raconte qu'après la parution de ce livre, Louis Guilloux est étiqueté comme « écrivain prolétarien ». Il s'en défend ainsi : « Mais les hommes que j'ai voulu peindre ne sont pas d'abord des prolétaires. Ils sont avant tout des hommes [...]. Il n'y a qu'une expérience, la même pour tous : l'Amour. »

    Éric CHOPIN.




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